Trois scènes silencieuses, un feu qui persiste. Ce triptyque interroge : sommes-nous témoins d’une catastrophe… ou d’un rituel ?
L’incendie n’est plus un accident, c’est peut-être une conséquence. Il naît dans l’ombre d’une première silhouette, se propage à un moulin, dévore un village — jusqu’au puits.
Ce puits, ultime vestige ou issue vers un ailleurs ? L’invitation à plonger semble claire… mais fuir vers où, si l’enfer a déjà commencé ?
Inspiré par les visions infernales de Gustave Doré et les cercles de Dante, le spectateur est laissé sans repères. Il ne reste que des cendres, un silence brûlant, et des questions sans réponses.

Je reste délibérément vague, je vous laisse le soin d'interpréter son sens et de tirer vos propres conclusions.