CALDERA — un triptyque où chaque image, chaque ombre, chaque détail nous entraîne plus profondément dans une exploration du malaise, dévoilant une histoire où le familier devient inquiétant et où le spectateur devient le témoin, peut-être même le participant, de cette descente inexorable.
“ Ce n’est pas la lumière qui manque à notre regard, c’est notre regard qui manque de lumière.”
– Gustave Thibon, L’Échelle de Jacob (1942)



